AS – Lead the field
Dure dure la vie de blogeur en PMBA… Mon challenge des deux livres par semaine paraît insurmontable, heureusement les vacances me permettront de rattraper le retard… En ce moment, je tourne à un livre par semaine et c’est déjà pas mal… Je viens de finir « The creative habit » de Twyla THARP qui m’a assez plu, mais aujourd’hui c’est de « Lead the field » dont je vais vous parler car il commençait à prendre la poussière..! ;-)
Après les états d’âme : une belle analyse systémique :
Déjà pour commencer je voudrais vous conseiller ce livre ! Je l’ai trouvé très enthousiasmant et très complémentaire à celui de Jim Rohn « Stratégie de prospérité ».
Voici donc notre analyse systémique avec en amont du système : toutes les ressources qui nous sont propres. Ces ressources (notre temps, nos talents, la puissance de notre esprit et notre capacité à évoluer) nous sont propres dans le sens où personne ne peut nous les prendre. Ainsi Earl NIGHTINGALE nous explique qu’il ne tient qu’à nous d’en faire bon usage.
Comme Jim ROHN, Earl NIGHTINGALE octroie une grande importance à la définition d’objectifs. Il conseil de voir loin et de voir grand. Ces objectifs doivent être visualisables. On doit y penser très fort, se les imaginer concrètement je dirais même se les imager. C’est à dire se projeter dans l’état dans lequel nous serions si nous attendrions ces objectifs. Les objectifs doivent être rédigés et consultables fréquemment. Dans le système que préconise l’auteur, les objectifs ne doivent jamais être perdus de vu (d’où ma représentation de l’œil qui guète en ligne de mire le haut de la pyramide sociale).
Une fois que les objectifs sont posés et régulièrement consultés, la réalisation de ceux-ci passera par le développement personnel. L’auteur dit ici une chose importante : « It’s believed that no one can learn, anything until he or she is ready for it, and apparently I was finally ready in my late twenties, to finally see for the first time the secret I had searched for so long. It was simply this : We become what we think about ». En résumé : il faut être prêt à devenir ce que l’on souhaite devenir et l’accepter puis on devient ce que nous souhaitons devenir. Donc dans un premier temps il s’agit d’être prêt à devenir ce à quoi nous aspirons… Il ne suffit pas de se le dire, il faut s’investir de cette volonté pour qu’elle soit sienne. J’ai personnellement vraiment ressentis cela ! L’année dernière j’aspirais très fort à devenir quelqu’un de prospert (au sens large du terme) mais bien obligé de me rendre compte que je cherchais des exemples dans mon entourage pour me rattacher à des objectifs. Et depuis quelques semaines je sens que je suis prêt à devenir ce à quoi j’aspire. J’ai trouvé mon propre chemin et les choses se dessinent d’elles même. Mes objectifs ne me semblent plus surfaits, ils me semblent me correspondre pleinement !
Composantes du developpement personnel :
Une fois que nous sommes dans cet état d’esprit d’adhérer complètement à nos objectifs alors il faut utiliser nos ressources (temps, esprit, talent) pour nous développer. L’auteur nous démontre que nous n’utilisons qu’une partie infime de notre cerveau, aussi il préconise de nous lever une heure plus tôt chaque matin pour réfléchir et trouver une vingtaine d’idées. Qu’elles soient bonnes ou mauvaises : peu importe, si après une semaine il n’en ressort qu’une seule idée de bonne alors c’est toujours une idée de plus que les autres. Une heure à réfléchir de plus chaque jour c’est réfléchir 7 heures de plus par semaine… Ainsi notre cerveau s’habitue à réfléchir et à fournir de plus en plus d’idées.
Les idées que nous cherchons doivent être dirigées vers les autres et vers les services que nous sommes à même de leur apporter. Earl NIGHTINGALE nous dit que notre revenu sera proportionnel aux services que nous serons à même de rendre aux autres. Cela répond à une règle simple : il faut donner pour recevoir, ainsi si l’on donne beaucoup et si ce que l’on donne a de la valeur alors le retour sera à la hauteur de ce service : c’est à dire immense.
Il faut donc apprendre, apprendre et encore apprendre pour nous développer. La connaissance transpire quand nous nous exprimons. Les mots que nous utilisons et le savoir que nous véhiculons dans nos propos font partis de nous. Ils sont entendus et véhiculent une forte impression de ce que nous sommes.
Comme je l’ai fait apparaître dans l’analyse systémique : c’est notre développement personnel qui se fera au quotidien pour ensuite se cumuler au fil des semaines, des mois et des années; qui apportera de la valeur aux services que nous rendrons aux autres. Et lorsque le retour légitime de ces services nous parviendra : alors il sera d’une très grande importance.
En haut de la pyramide il y a moins de concurrence :
Ce que nous dit également l’auteur : c’est qu’en haut de la pyramide sociale : il y a moins de concurrence. Si nous sommes capables, grâce à notre développement personnel qui se fera au quotidien, de nous démarquer de tel sorte à ce que nos services ne soient comparables avec aucun autre alors la vie sera plus facile. Si nous proposons les mêmes services que les autres, c’est à dire les services à la portée de tous, alors la valeur de ce service sera moindre. C’est pour cela que plus nous évoluons et plus le service que nous apportons gagne en valeur et plus il est facile d’en recevoir des gains importants.
Cette plus faible concurrence est représentée dans mon système par les ronds plus ou moins grand. J’ai également illustré le retour financier proportionnel à la valeur du service apportée par des dollars plus ou moins grands.
Et les autres alors…
Que deviennent les autres dans tout cela. La valeur des gens reste la même, seule la valeur du service apporté diffère ! Une existence sans objectif, sans développement personnel, sans petite tâche réalisée au quotidien : c’est la procrastination qui prend le dessus… Ce cas concerne 95% de la population (c’est pour cela qu’il est aussi simple de faire la différence : 95% de la population mondiale se laisse vivre…). Ainsi la majorité des personnes ne lisent pas de livres, ne prennent pas le temps de se fixer des objectifs, ne réfléchissent pas à ce qu’ils pourraient apporter comme service aux autres…etc.
Voilà pourquoi dans le système sans objectif de défini c’est la direction vers le bas de la pyramide sociale, là où il est plus dur de faire sa place et de revendiquer un revenu important. Dans ce cas : le système trouve son puits dans la perte de temps et un faible revenu (deux nuages violets du bas).
Avec cette démonstration, j’espère que vous prendrez l’initiative de vous fixer des objectifs et de faire travailler votre cerveau pour vous retrouver dans le haut de la pyramide : là où tout est plus facile !!! ;-P
Niveau du livre :
2 commentaires
Cher auteur,
Comme nous avons en commun la volonté de nous améliorer, je me permets de vous inciter à relire attentivement vos articles pour éliminer les dernières fautes d’orthographe qui s’y glissent. La lecture de votre blog n’en sera que meilleure… :-) et merci pour votre blog, votre approche systèmique est très intéressante.
Brousse Ouillisse
Posté le 11 avril 2009 à 21 h 41 min
Merci Brousse pour ce petit conseil…! ;-)
J’avoue que j’ai posté ce billet un peu vite… Je devais partir en week end, j’étais en retard… Donc j’ai bouclé mon article rapidement pour le mettre à votre disposition pour ce long week end…
Je pense que la prochaine fois je le laisserai dans les brouillons et attendrais quelques jours avant de le poster.
Mais, malheureusement, il y aura toujours des fautes qui passeront à la trappe. Alors j’ai installé un plug in pour que les amateurs, comme vous, de notre si belle langue m’aident à la respecter en me faisant des propositions de correction.
Donc, dorénavant il vous sera possible de corriger les quelques fautes qui subsisteront en :
- Cliquant sur l’icône « Copy Edit » qui clôture chaque article.
- Sélectionnant la phrase à corriger
- Cliquant sur le bouton « Spelling »
- En renseignant la proposition de correction
Au plaisir de vous lire sans fautes…! ;-P
Posté le 12 avril 2009 à 18 h 55 min